Une image porté, et des concepts mis à jour forment une vision et un encadrement: la dystopie de l’être et de son quotidien se créer et s’entretien. Les support ne manque pas. Auparavant coucher sur du papier, puis sur des successions d’images, la caméra fit avancer à grand pas la fiction d’aujourd’hui.

Le papier faisant appel à beaucoup d’imagination et de concept, une abstraction nécessaire… L’image animé, le film sur 30 images par secondes permet la mise sur rétine, la fiction tel émanant de son créateur. Ces fictions sont une sorte d’échappatoire de l’auteur et de son publique. Tout en n’oubliant pas que la fiction peu bien souvent jouer à l’horreur de la réalité.. Ainsi une simple ou complexe fiction peu s’avérer dévastateur. Dans le sens ou une toile couvre complètement la réalité actuelle la masquant, la couvrant tel qu’elle se juxtapose sur la réalité ambiante.

Une réalité pleine qui peu sembler monocorde voir monotone, ce trait caractéristique est indéniablement partie prenante. La réalité et la fiction ne peuvent que se rejoindre… Et ainsi créer l’ère dans laquelle nous somme aujourd’hui. Il suffit de regarder le panel actuel et passe pour constater l’effroi créer. L’ambivalence des connections, la jonction des fiction vis à vis d’un idéal.

Le paradigme éternelle se donne, se partage, se recycle, et se régurgite puis s’éteint pour mieux reprendre de ses propres cendres..

Mais en fait, ce que tu appelles fiction c’est l’image, plus ou moins déformée, d’une réalité, car si la photo est un reflet évident de ce qu’elle fige, le dessin, tableau ou la sculpture n’en sont pas moins les bribes vacillantes échappées d’une réalité propre au cerveau de son créateur… Ou bien de son public, chacun d’entre eux devenant le réceptacle d’émotions intrinsèques face à ce morceau de la réalité de quelqu’un… En soi ces émotions existent, et tout autant que leur support et leur source, c’est une réalité. Cette fiction, donc, devant public, devient réalité. Donc, selon moi, la création n’est réelle, que devant un public… Le créateur lui même pouvant apparaître comme le propre public de sa création.
L’important est de créer (par extension ”d’agir”) pour quelqu’un, y compris pour soi même.
Car sans public, c’est comme si la création reste à l’état larvaire, sans avenir car ne pouvant devenir souvenir… Si tu n’es pas le souvenir de quelqu’un, tu n’existe qu’au présent, et le présent est voué à disparaître…

Oncle Ben

Donc tu veux dire que le publique de t’as création te transforme en un dieu immuable. Tel une statue de Staline ou une peinture de Leonard ou un buste grec antique.
Cette perpétuation, ce prolongement de ton moi présent façonne la mémoire de ton être. Il peut être impure mais le nettoie et créer une image absolu de toi. Un idéal retranscrit, un dieu de la fiction, un être à part entière. Au dessus des autres et de leurs banales souvenirs du quotidien. Ainsi tu transcende la matière, le temps et les Hommes..
Tu es un créateur !

luMi

La fiction est A Whole Universe..

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