L’acte de conduire est soumis au permis qui autorise la circulation sur la route publique. La conduite est soumis à des lois, le code pénale est le garant des règles automobiles. La conduite est fortement encadrée, cependant il y a une forte appropriation des usagers du code de conduite à suivre. Ainsi la où la lois interdit certains écarts, le conducteur va alors sous l’emprise de son code de conduite personnel y voir une chose normal et non transgressif.
On vois la bien une faille dans cela. Et elle s’amplifie avec l’âge du conducteur mais également le nombre d’années de l’obtention du permis. On y vois ici la nature de l’homme dans toute sa splendeur à vouloir s’approprier la terre, les biens et le “savoir du pouvoir” . Qu’entend-on par cela ? Tout simplement que l’homme va au fil du temps et de son comportement, intégrer et ainsi mélanger le tout. Il va alors forme ce “code d’honneur” ce “bushido” propre à lui. Cela peu bien sûr bien tourné et aller au delà de la réglementation dans le bon sens..
Mais soyons clair cela va souvent dans le sens opposé et brutal. La terminaison étant le retrait suite à alcoolémie ou suite à un accident grave. Il faut voir que ce genre de comportement est différent chez l’homme et chez la femme. La ou la femme va resté sécuritaire et se protéger, même en cas d’infraction. L’homme lui ne va chercher qu’à jouer avec le code de la route. Un peu comme un joueur de jeux de hasard de la Française des jeux. Sauf que la perte entraîne des concequences désastreuses, tant matériel que humain. La perte de certaines facultées, dont notamment la marche ou de sens est très handicapant. Pour ne pas dire fatale à la personne. Quand un attribut est considérer comme acquis il est difficile de s’en détacher..
Revenons en au fait de cette nature profonde de l’homme, sa relation différente avec la machine par rapport aux femmes. Comment peut on expliqué cela ? C’est simplement culturel. La où la femme dans son enfance va “jouer à la poupée” qu’est ce que le garçon va jouer??? Oui bien sur la voiture. Son interaction avec le jouet sera binaire. Il tentera de mener l’objet de façon rapide sur toute surface. Quoi de mieux pour influencer son moi adulte.
Toutefois ce n’est pas que ça. Il faut ainsi pointé du doigt sur le fait que l’homme de par sa forte concentration en testostérone va chercher à produire de l’adrénaline en faisant du sport à son volant. Il faut voir aussi que cela reste l’un des defouloirs numéro 1 pour l’homme lambda. L’objet le plus accessible pour celui ci afin de pouvoir donné du piment à sa journée. C’est alors que la conduite deviens l’objet d’un nouveau mode d’utilisation, le lieu de defouloir de sa personne.
Sauf que ce defouloir implique d’autres personnes et sur une route partagée, pour ne pas dire publique.. A partir du moment où l’on joue avec sa vie sur un lieu publique, l’on met en danger non seulement sa vie mais celle d’autrui. C’est réducteur, voir simpliste, voir très réducteur. Mais cela reste tout à fait vrai et sanctionnable de manière brutale par la société. Sans parler de son autoalienation suite à cet événement.. La conduite quel qu’en soit l’état implique un dévouement et un respect de soi et d’autrui..
La conduite est A Whole universe