ce billet sera très court étant donné que je suis extrêmement fatigué ces dernier temps.
On se prend a demander aux personnes ce qu’ils font dans leur vie. Mais la question n’est pas aussi profonde que leur demander ce qui leur prend aux tripes, qu’est ce qui leur permet de se lever le matin et donner surtout un sens à leur existence. Cette question peu peuvent se la poser étant donné la vie rapide et formaté du monde d’aujourd’hui. L’attrait de l’argent dans tous les échanges humains perturbe nécessairement l’ensemble de l’enjeu social. Ainsi peu son capable de travailler pour une ONG ou une association. L’attrait du bénévolat se porte dans des valeurs intrinsèques que tout a chacun ne peu en saisir la portée ni l’obstination. L’Œuvre tel que dans l’art ou la littérature est chose précieuse. Une œuvre est un profond et long cheminement dans la recherche et l’abnégation. Ainsi j’en reviens encore une fois qu’il ne faut pas négliger l’importance du travail au préalable à sa réalisation. Il y a une composante plus puissante dans cela.
Le leitmotiv de l’établissement d’une œuvre durable dans le temps est un facteur clef dans l’histoire. Que l’œuvre soit physique ou immatériel on ne peut y faire obstruction lorsqu’elle est présentée par de nombreuses personnes. La connivence d’intérêt que suscite une œuvre créer nécessaire un dogme dans lequel l’auteur pourra se délecter et s’abreuver de l’obscur breuvage.
Oeuvre ou érgon en grec est une nécessité présente dans chacun d’entre nous. Toutefois la portée et la valeur de tout cela n’est jamais posé au même endroit. Ainsi une œuvre pourra se définir par un drapé, un tableau, un écrit ou tout simplement une signature. Mais alors l’œuvre n’est-elle tout simplement pas une trace fugace d’un passage d’une vie ?
En soi définir sa personne dans l’œuvre ou les œuvres de sa vie.. N’est ce pas la un voyeurisme exacerbée ou tout simplement un besoin simple et humain de reconnaissance ? Mais si cette reconnaissance est mal placée où se portera l’intérêt de l’action ?
La bonté d’âme n’est pour certains qu’un refuge profond a l’exercice de leurs valeurs..
Sur ceux je finis, Morphée m’appel et me tends gentiment à l’oreille les douces mélodies des dryades..