Ce billet sera plutôt court, quel est la puissance de l’arrêt ? Quel est son fondement ?
Les choses tel qu’elles sont et se projette à soi sont toutes sujettes à interprétation. Attention l’interprétation se décompose en plusieurs pan :
L’interprétation de par :
- Son enfance
- Son vécu sociaux-affectif
- Son vécu avec la famille
- Son vécu avec les amis
- Son paradigme
- Ses croyances
- Ses idéaux
- Son charisme
- Sa propre volonté…
Il est intéressant de voir qu’il y a souvent des amalgames en la matière. Cette liste doit nécessairement être étager pour certains…
Mais le plus intéressant c’est le choix de l’ordre de tout à chacun..
Ainsi en fonction de son parcours chacun du fait de leur vécu, vont alors nécessairement ordonnée l’ensemble.
Mais alors si toute cette interprétation est assujettie à ce lot, alors nous nous confrontons à nombre de barrières…
Au possible si peu qu’il n’en faut, la matière et le prolongement de soi se construit au fil du temps.
LuMi
Charge à l’individu d’en juger toute la portée et l’importance.
Chose futile et chose fugace sont quelque peu lourde de sens…
L’individu n’est que l’esclave de sa propre substance, la grandeur d’âme n’est que vacuité face à l’obsolescence programmé de son être
L’écrit reste chose précieuse dont la portée et le mode d’interprétation autorise un carcan, un environnement propice à l’évasion…
La qualité de ce billet est quelques peu passable, je vais peut-être me permettre de reposé ma plume et attendre un repos bien mérité pour pouvoir écrire à nouveau…
Chose précieuse et merveilleuse sont ce que perte et fracas produisent…
LUMI
L’idéal n’est pas de pensée, l’essence même de toute interaction se poursuit de bout en bout.
Mètre après mètre, minutes après minutes l’être se perd et se cherche
L’avenir n’est qu’un schéma qu’on a soit même minutieusement ordonnée…
