Un nouveau jour s’annonce et viens alors le temps des regrets et plaisirs pour le commun des mortels. Pris dans des filets mal tissé comme de l’entretoise qui les poussent au vice, l’Homme n’est malheureusement qu’une pauvre pierre sur laquelle le temps et la pluie façonne avec fermeté. L’horizon est lointain mais la fragilité de la vie la rend plus « despicable ». Pris dans des arrêts qui ne peuvent se défaire malgré le temps et les histoires, l’Homme est ainsi pris dans le tourbillon, dans le fond d’un vase sur laquelle la plus douce des fleurs, la rose rouge s’entretient et se fane sous une brise longue et perpétuel. Dans le creux des montagnes des peuples sentent la joie de vivre, loin dans les montagnes, loin des villes la vie n’est pas la même. Ainsi il faut se demander et constituer sa propre idée sur les choses et leurs devenir, prisonnier de filets mal tissés les ombres en ce bas monde son nombreuse. QUID de la jeune éphèbe qui s’amourache du premier venu sur des critères de beauté qu’on lui a lavé la cervelle grâce au média et d’un présumer bon vouloir, celui de l’ennui. Ainsi prisonnier du premier bellot, elle se perd elle même dans un long fond sans fin.. Pendant que le temps efface ses larmes et sa beauté, oui 17 ans de floraison.. pour finir au désespoir à se morfondre sur des conquêtes sans but et sans futur. Prisonnier de relent, de pauvreté de culture et se laissant soumettre à ses envie primale, l’histoire n’est pas neuve.. car elle remonte à l’ère dans laquelle l’on est.. oui, ainsi construit la génération 2000 à maintenant est conscrit. Pris dans des arrêts au cœur plus fort que leurs raison car leurs corps leurs dicte la raison et l’obsession. Prisonnier de courant et soumis à la décision des plus forts, l’histoire n’est pas neuve, car l’histoire est gravée dans la roche dès les premiers pas de vie.
Ainsi soit il,
Ainsi il en sera
Car le jour présent soumet nombre de vie
Le cœur n’a pas de raison quand l’obsession primale demeure la raison de vivre
C’est alors que se créer, un fantasme
Celui de l’être aimé, qui verser dans l’art de la vie porte sa dévotion au delà du péché de la chair
Car la nature appel à la chair et la chair appel le vice..
Ainsi la chair est la pauvreté de l’esprit..
Bienvenue à l’aube de ce monde conscrit et accepter par tous.
LuMi